L'équipe de tournage est une famille, une patrouille de soldats en cours a l'agression, un groupe d'aventuriers a la recherche de l'excitation ... Argonauts de chasse de la Toison d'or.
Le trésor, la Toison d'or est toujours donnée par les images. Et dans l'histoire en image, le narrateur du film de l'aventure c’est le photographe de cinéma. Qui croirait que c'est un travail facile, se trompe dans l'apparente confusion de l'ensemble, ou chacun travaille a sa tâche de rassembler le meilleur de la tragique équation: temps, argent, et la qualité.
Le photographe de cinéma, qui documente tout ce qu’il a pour l'opération, devrait avoir beaucoup de qualité. Doit devenir une sorte de lutin. Il est capable de se glisser dans un maillage serré de la présidence du groupe, le directeur, la direction de la lumiere, a la recherche du point de vue de la caméra, d'avoir le meme encadrement sans interférer dans le délicat travail de l'équipe. Par conséquent, il a un bon entraînement sportif, parce que parfois il faut monter une échelle ou glisser comme un serpent sur le terrain et passer en phase avec les mouvements de la machine, afin de ne pas perturber le délicat équilibre du moins de la scene, la tension des acteurs et des techniciens, la magie entre le metteur en scene et la concentration dans le plateau pour saisir le moment favorable de l' action.
Des milliers de fois au cours de mes trente-quatre films, j'ai chassé avec des paroles amicales et meme les menaces physiques, l'omniprésent photographe qui a été placé sous la caméra dans ce qui est la position du metteur en scene. Outre cela, il faut photographier le tournage et l'ensemble du mouvement du travail de la troupe, sans échapper un moment épiques: combats, amours,striptease et des bandes apocalyptique.
Ensuite, son travail doit subir le contrôle des metteurs en scene et d'acteurs, connus comme des gros casse-pieds. Il n'est donc pas un travail facile, c’est un métier de bataille. J'ai eu de la chance ..
Pour beaucoup de mes films, j'ai eu de tres bons photographes. Celui qui a été en contact étroit a moi était Tonino Benedetti.
Il avait des cheveus rouges pire qu’un écossais, des yeux vert et un âme de poete, c’est l’un de plus grands photographes de notre cinéma.
Je ne pourrai jamais oublier son désespoir pendant le tournage de"submergées par un destin exceptionnel dans le bleu de la mer du mois d'aout" lors de son transfert d'un bateau a l'autre, une vague anormale a fait tomber a l'eau ses caméras.
Tout le monde s’est jetées a la mer pour les récupérer. Les cameras ont été récupérés, mais en vain, le sel les a rendue inutilisable.
Tonino pleuré comme un bébé.